Depuis deux semaines, 4 bus-robots circulent sur l'avenue de Roumanille à Sophia-Antipolis dans le cadre d'une expérimentation.
Des cubes en verre sans conducteurs, sans volants et entièrement silencieux, ces bus futuristes sont pour le moins intrigants. Toujours au stade de prototypes, leur vitesse n'excède pas les 15 kilomètres heures. Déjà suffisant pour attirer les curieux remarque Monica Pierrel, opératrice à bord : « Tout à l'heure une dame a fait l'aller-retour avec moi juste pour l'essayer. Elle a vu ça sur les réseaux sociaux a été curieuse et elle était très contente à l'arrivée. Les gens sont quand même très positifs à la nouvelle technologie ».
Au-delà de l'intérêt scientifique et technologique, la navette garde un véritable objectif pratique. Celui de faciliter les petits déplacements quotidiens et réduire le recours à des modes de déplacement plus polluants explique Pierre Molagé, directeur du projet : « La navette préfigure ce qui pourrait être demain un mode de transport alternatif aux transports en commun qui permet d'effectuer le dernier kilomètre. C'est extrêmement important dans une ville comme Sophia puisqu'entre l'arrêt de bus et le lieu de travail ou l'université ; il y a parfois 800 ou 900 mètres ».
Entièrement électriques, les véhicules sont en circulation pour une durée de trois mois.
Virgin Radio Côte d'Azur avec Nicolas Comelli.
Des cubes en verre sans conducteurs, sans volants et entièrement silencieux, ces bus futuristes sont pour le moins intrigants. Toujours au stade de prototypes, leur vitesse n'excède pas les 15 kilomètres heures. Déjà suffisant pour attirer les curieux remarque Monica Pierrel, opératrice à bord : « Tout à l'heure une dame a fait l'aller-retour avec moi juste pour l'essayer. Elle a vu ça sur les réseaux sociaux a été curieuse et elle était très contente à l'arrivée. Les gens sont quand même très positifs à la nouvelle technologie ».
Au-delà de l'intérêt scientifique et technologique, la navette garde un véritable objectif pratique. Celui de faciliter les petits déplacements quotidiens et réduire le recours à des modes de déplacement plus polluants explique Pierre Molagé, directeur du projet : « La navette préfigure ce qui pourrait être demain un mode de transport alternatif aux transports en commun qui permet d'effectuer le dernier kilomètre. C'est extrêmement important dans une ville comme Sophia puisqu'entre l'arrêt de bus et le lieu de travail ou l'université ; il y a parfois 800 ou 900 mètres ».
Entièrement électriques, les véhicules sont en circulation pour une durée de trois mois.
Virgin Radio Côte d'Azur avec Nicolas Comelli.
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